Les femmes de science à Parcs Ontario

Bonne Journée internationale des femmes et des filles de science!

Nos scientifiques féminines font partie intégrante de Parcs Ontario, occupant des postes de chercheuse, de biologiste, d’écologiste et plus encore!

Voici un bref portrait de quelques-unes de nos formidables femmes de science :

Eugenie Au, chercheuse sur les serpents

chercheuse de serpent portant son équipementÀ titre de chercheuse sur les serpents, Eugénie passe ses étés à se promener le long du rivage rocheux du parc provincial Killbear, à la recherche de serpents massasauga et de couleuvres fauves de l’Est.

Elle implante une micropuce dans chaque serpent capturé afin de surveiller les populations dans le parc.

Parfois, un visiteur chanceux peut assister au processus!

«Chaque serpent a ses propres personnalité et histoire. J’aime informer les visiteurs et savoir qu’ils repartent avec un peu plus d’amour pour cette espèce « redoutable ». »

Corina Brdar, écologiste principale de zone

Employée enlaçant une gerbe

Grâce à son expertise en écologie, Corina contribue à protéger et à restaurer les parcs provinciaux dans la zone sud-est.

« J’effectue des recherches sur de nouveaux sujets et j’interagis avec des experts de tous les domaines de l’écologie chaque jour. Mon travail consiste principalement en de la recherche appliquée, mais il repose sur des études scientifiques réalisées par des universitaires et d’autres scientifiques du gouvernement.

J’accomplis ce travail depuis la fin de mes études supérieures, il y a près de 20 ans et j’espère poursuivre jusqu’à ma retraite. »

Morgan Hawkins, biologiste interne

En qualité de biologiste interne, Morgan se consacre aux recherches sur la faune.

Membre du personnel près d’un appareil de surveillance de la faune

L’information qu’elle recueille contribue à la planification de la gestion du parc et à la préservation de l’intégrité écologique.

« Avec Parcs Ontario, je travaille à rassembler le plus d’informations possible sur les plantes et les animaux de nos zones protégées.


Sur cette photo, je me bats (et je perds) contre un essaim de moustiques dans l’arrière-pays alors que j’installe un appareil de surveillance acoustique. L’appareil est réglé pour capter le chant de chauves-souris, d’amphibiens et d’oiseaux afin de mieux comprendre les espèces et leur répartition démographique dans l’environnement.

La meilleure partie de ma fonction consiste à travailler avec de formidables personnes exécutant des projets qui contribuent aux importants efforts de conservation. »

Jasmine Veitch, chercheuse sur les petits mammifères à la SRFA

Jasmine travaille pour la station de recherche sur la faune du parc provincial Algonquin comme étudiante du cycle supérieur.

Elle étudie actuellement les effets des parasites sur les rongeurs sauvages afin de déterminer leur influence sur les niveaux d’hormones de stress dans le parc provincial Algonquin.

« J’ai toujours éprouvé une passion pour la nature et la biologie, et travailler sur le projet de recherche sur les petits mammifères dans le parc Algonquin m’a permis de me connecter au monde naturel.

« Avoir la chance de passer chaque jour à explorer la nature procure une trésor d’expériences que je n’aurais pu vivre autrement. »

Elizabeth Steadman, coordonnatrice bénévole pour le pluvier siffleur

Employée tenant une tortue

Pendant trois étés, Elizabeth a occupé la fonction de coordonnatrice bénévole pour le pluvier siffleur au parc provincial Presqu’ile.

Lorsque les pluviers siffleurs nichaient ailleurs en été, elle a contribué à des tâches de plus grande envergure, par exemple :

  • Comptage des monarques
  • Recensement des cormorans
  • Travail en pépinière d’arbres et pouponnière de tortues
  • Et à plein d’autres activités amusantes d’enrichissement de la nature!

Elle a continué de se consacrer aux pluviers siffleurs en Ontario en préparant une maîtrise en sciences à l’Université Trent. Une équipe échantillonnera 16 plages en Ontario pour tenter de comprendre la quantité de nourriture dont disposent les pluviers siffleurs, ainsi que d’autres caractéristiques de l’habitat qui les poussent à nicher sur certaines plages.

Pluvier siffleur sur la plage

« La partie la plus intéressante de mon travail consiste assurément à découvrir les liens existant dans la nature. Cela peut sembler bizarre à priori, mais j’en viens maintenant à comparer les pluviers siffleurs au pingouin dansant les claquettes du film Les Petits Pieds du bonheur, si ce n’est qu’ils dansent sur le sable.

De nombreux oiseaux de rivage visitent les plages ontariennes pour se nourrir d’invertébrés au bord de l’eau, les rivages recouverts d’algues, les bandes de varech parsemées de bois de grève et les zones dunaires de végétation courte. Le pluvier siffleur est l’un des oiseaux de rivage adaptés qui peut danser le ventre plein – tout un dîner et spectacle! »

Biologiste de parc

Cette biologiste du parc suit des loups portant un collier émetteur depuis un hélicoptère, et surveille les faucons pèlerins en même temps!

staff member looking out of helicopter

À toutes les femmes de science extraordinaires qui travaillent pour comprendre et protéger nos espaces naturels : nous vous remercions pour votre travail acharné, votre expertise et nous vous félicitons pour toutes vos réalisations!