Rivage rocailleux qui plonge dans un lac bleu

La nature revitalisante de Killbear

Ce billet a été rédigé par Kaitlyn-Lee Mun, une de nos merveilleuses étudiantes d’été du parc provincial Killbear.

« Je passerai l’été à Killbear. »

« Chouette, où est-ce? »

C’est généralement ce qu’on me répond lorsque je dis à ma famille et à mes amis où je passerai mon été.

Pour les habitants des grandes villes, Killbear demeure largement inconnu. Toutefois, à en juger par ceux qui voyagent dans le nord de l’Ontario année après année, il est évident que ce parc a ravi de nombreux cœurs.

Killbear a également conquis mon cœur cet été. Je me suis rendue à cet endroit magnifique dans le but d’aider à créer du matériel publicitaire et du contenu sur les réseaux sociaux du parc. Ainsi, j’ai eu l’occasion d’explorer tout ce que le parc a à offrir.

Rien de plus facile que de s’amuser dehors

Entre la nature de ce poste et ma situation de logement au parc, j’ai remarqué que je passais plus de temps à l’extérieur que jamais.

Rivage rocailleux

En habitant à Killbear, je me plaisais à passer du temps à l’extérieur. L’exploration du parc pour prendre des photos, les baignades à la plage ou le jogging sur le sentier, tout ce temps passé à l’extérieur me semblait tellement naturel.

Pin blanc balayé par le vent sur le ravage rocailleux d’un lac au cours de l’été

En tant que fille de la ville, être à Killbear était littéralement une bouffée d’air frais. Il n’y avait aucune lumière des villes pour cacher les étoiles, aucun smog pour étouffer les poumons et il n’y avait pas d’autre circulation que celle des animaux sauvages.

Le pouvoir revitalisant de la nature

Pour le mois d’août, Parcs Ontario nous ont mis au défi de passer 30 minutes dans la nature tous les jours pendant 30 jours.

Sans même essayer, je savais déjà que j’avais réussi ce défi lors de mon séjour à Killbear. Je savais également que tout l’exercice que je faisais et tout l’air frais que je respirais renforçaient mon corps et mon esprit.

Pin balayé par le vent au coucher du soleil.

Je pouvais courir une plus grande distance, j’avais plus d’énergie et j’étais devenue plus sociable. J’ai été étonnée de voir combien la nature peut être transformatrice. Il m’a fallu toute une vie pour me rendre compte combien la nature est importante et comment passer trop de temps à l’intérieur peut vraiment avoir une incidence sur notre bien-être physique et mental.

Après cette expérience, je sais qu’à mon retour à Toronto, je tiendrai ma parole et je passerai plus de temps dans la nature.

Allez, renouez avec la nature!

Les pieds (dans des espadrilles) de quelqu’un sur la plage qui regarde l’eau

D’ailleurs, vous n’avez pas besoin de vivre dans un parc provincial pour passer du temps de qualité dans la nature!

Même dans le centre-ville de Toronto, il y a des espaces verts partout. Engagez-vous à passer plus de temps dehors, que ce soit pour un dîner au parc ou simplement pour vous éloigner de vos appareils électroniques dans l’espace vert le plus près de chez vous.

Nous sommes tous gagnants lorsque nous renouons avec la nature.

Apprenez-en davantage sur l’initiative Santé des parcs santé des populations!