Un terrain de camping avec des tentes-roulottes

Hier et aujourd’hui : cuisiner dans un VR

Voici un billet rédigé par Deb Rankine, alias The Fridge Whisperer.

Pour les amateurs de camping, il y a énormément d’options d’endroits où se reposer la tête à la fin d’une journée bien remplie de randonnées aventureuses, d’explorations en canot et de baignades rafraîchissantes. Votre choix est déterminé par les essentiels de votre confort.

Les véhicules récréatifs d’aujourd’hui ne déçoivent pas! Dans le cadre des célébrations du 125e anniversaire de Parcs Ontario, nous avons pensé qu’il serait amusant de regarder à ce que rassemblait le camping (et la cuisine) dans une tente-roulotte au fil des ans.

Un terrain de tentes-roulottes des années 1960

Les anciennes tentes-roulottes des années 1950 et 1960 étaient petites et compactes, et offraient essentiellement un lit-gigogne, un poêle au propane avec deux brûleurs, une glacière et un petit évier en acier doté d’un robinet à l’eau froide avec une pompe manuelle pour faire la vaisselle.

L’éclairage consistait souvent d’un seul plafonnier, fonctionnant à l’aide d’une pile à courant continu ou de la prise électrique du terrain de camping, habituellement au coût de 25 sous par jour.

Ces tentes-roulottes étaient conçues pour les familles de quatre personnes, bien que la plupart du temps l’espace habitable était tellement restreint que le souper était préparé sur la table de pique-nique ou cuisiné dehors.

Une photo de VR récent

Presque 70 ans plus tard, les véhicules récréatifs d’aujourd’hui sont construits pour les masses avec une salle de bain, une chaîne stéréophonique ambiophonie, un plancher chauffant radiant, ainsi qu’une cuisine de rêve dotée d’appareils électroménagers de pleine taille, d’un four à convection, d’un îlot pour préparer la nourriture et d’un évier double.

Et parlant de la belle vie, voici une idée délicieuse de souper qui peut se faire dans une cuisine de VR, sur un réchaud d’extérieur ou sur un feu en plein air.

Médaillons de porc à la crème et à la moutarde de Dijon (6 portions)

Médaillons de porc dans une poêle

Ingrédients :

  • 2 filets de porc (d’environ une livre chacun), sans la peau et le gras
  • ¼ tasse de farine tout-usage
  • 1 cuillère à thé de sel kosher
  • ½ cuillère à thé de poivre noir concassé
  • ¼ tasse d’huile d’olive extra-vierge
  • 2 cuillères à soupe de beurre
  • ¼ tasse de vin blanc sec
  • ½ tasse de bouillon de poulet
  • ½ tasse de crème riche (35 %)
  • 2 cuillères à soupe de moutarde de Dijon

Couper chaque filet de porc de biseau en médaillons d’une épaisseur de 2 pouces, placer dans une pellicule plastique et attendrir en médaillons d’une épaisseur d’un demi pouce à l’aide d’un attendrisseur à viande ou d’un rouleau à pâtisserie.

Dans une petite assiette avec un rebord, mélanger la farine, le sel et le poivre. Mettre de côté.

Dans un poêlon moyen sur un feu moyen-élevé, ajouter l’huile et le beurre, et tourner pour bien recouvrir le fond du poêlon.

En petits lots, saupoudrer les médaillons de porc de la farine assaisonnée, enlever l’excédent et cuire jusqu’à ce qu’ils soient dorés pour environ cinq minutes de chaque côté. Transférer dans l’assiette avec un rebord et garder les médaillons au chaud dans la partie inférieure du four.

Dans le poêlon, ajouter du vin. À l’aide d’une cuillère en bois, enlever les résidus collés au fond du poêlon.

Réduire à feu moyen, fouetter le bouillon de poulet, la crème et la moutarde, et cuire jusqu’à ce que la sauce soit réduite de moitié, pour environ cinq minutes, remuer régulièrement.

Napper la sauce sur les médaillons et servir immédiatement, accompagner de légumes de saison et de pommes de terre cuites au four.

Vous aimeriez en savoir davantage sur l’histoire de Parcs Ontario? Consultez les autres billets de la série Hier et aujourd’hui dans le cadre du 125e anniversaire de Parcs Ontario.