Le billet d’aujourd’hui a été rédigé par David LeGros, un de nos naturalistes du parc provincial Algonquin.
Quand les tonifiantes journées d’automne refroidissent et qu’une mince couche de neige blanchit à l’occasion le paysage, nous savons que l’hiver est proche. Les innombrables oiseaux chanteurs de nos forêts fuient la froidure de nos hivers et le manque de nourriture en migrant vers le sud.
D’autres animaux sont adaptés au froid et peuvent se doter d’une fourrure ou de plumes plus épaisses. Certains ont la capacité, enviable selon nous, de pouvoir dormir durant tout le long hiver ontarien, c’est-à-dire d’hiberner.