Deux personnes à bord d’un canot près d’un rivage rocheux et un soleil en arrière-plan

Les 10 meilleures raisons de pagayer dans les espaces sauvages du Nord-Ouest

Le billet d’aujourd’hui provient de Barb Rees, spécialiste des programmes éducatifs du patrimoine naturel / du marketing auprès de Parcs Ontario.

Votre défi, si vous acceptez de relever, est de pagayer et de camper au moins trois nuits  consécutives dans chacun des parcs provinciaux Quetico, Wabakimi et Woodland Caribou d’ici le 15 octobre 2019.

Pourquoi? Consultez nos dix meilleures raisons de ne pas manquer les espaces sauvages du Nord-Nord.

10. C’est éloigné, mais accessible

Bien que ces trois parcs soient situés dans les espaces sauvages du Nord-Ouest véritables de l’Ontario, chaque parc est desservi par des collectivités avoisinantes et des pourvoyeurs. Il est même possible de faire des excursions entièrement préparées et guidées si c’est ce que vous préférez.

Deux pagayeurs à bord d’un canot, près d’un rivage rocheux avec une forêt en arrière-plan
Le parc provincial Quetico

Non seulement vous pouvez accéder aux parcs sauvages par les autoroutes et les routes de l’arrière-pays, mais certains parcs offrent également des méthodes d’accès non traditionnelles.

Le côté d’un train au crépuscule avec des personnes déchargeant leur canot
Charger ses canots à Armstrong (Ontario) et se diriger au parc provincial Wabakimi

Par exemple, avez-vous déjà songé à commencer votre excursion en canot à bord d’un train? Au parc provincial Wabakimi, il est possible de prendre les dispositions pour accéder le côté sud du  parc avec Via Rail Canada.

Les pagayeurs embarquant à bord d’un train le soir
Le train de nuit au parc Wabakimi

Ou bien avez-vous songé à commencer ou terminer votre excursion au parc provincial Woodland Caribou avec un vol nolisé pour aller au lac de votre choix ou en revenir?

Un cliché d’un lac pris du côté d’un avion
Le parc provincial Woodland Caribou

Les eaux du parc Quetico sont en face de la frontière internationale entre le Canada et les États-Unis, offrant une excursion de canotage sans heurts pour les Américains (pratiquement à partir de notre propre cour), à l’aide d’un passage à la frontière dans les régions éloignées.

9. C’est semblable, mais différent

Bien que chacun de ces parcs ait des similitudes et un choix de lacs et de rivières presque infini à explorer, ces parcs ont également leur propre personnalité.

La vue d’une plage par une journée ensoleillée à partir de l’ombre des grands conifères
Le parc provincial Quetico

Le parc Quetico est un parc sauvage reconnu à l’échelle internationale et favori depuis longtemps par les canoéistes. De nombreuses familles partagent leur passion pour la pagaie au parc Quetico en transmettant la tradition aux générations de leurs enfants et de leurs petits-enfants.

Des gens rassemblés autour d’un feu de camp à la noirceur avec des aurores boréales en arrière-plan
Le parc provincial Quetico

Du camping sous les pins élancés et les étoiles du soir au parc Quetico pourrait s’avérer être l’expérience de camping par excellence pour les pagayeurs.

Deux personnes pagayant en direction de la caméra à bord d’un canot rouge
Le parc provincial Wabakimi

Le parc Wabakimi est l’endroit pour vous lancer des défis. Il y a des eaux calmes, des rapides tumultueuses et de grandes chutes. Et bien que les points de portage puissent être difficiles, ils en valent vraiment l’effort.

Un affleurement rocheux dans un lac, avec un canot et une tente montée en avant-plan de la forêt boréale
Le parc provincial Wabakimi

Le parc Wabakimi offre un ensemble complet d’aventures remplies d’émotions : préparation, anticipation, admiration, adversité et, au bout du compte, célébration! Une fois que vous aurez passé du temps au parc Wabakimi, vous aurez un coup de cœur pour les paysages purs et sauvages.

La prairie influence le climat du parc Woodland Caribou, ce qui cause un climat plus sec, plus chaud et propice à une saison de pagaie plus longue, et oui, comptant un nombre d’insectes moins élevé. Et qui n’aime pas moins d’insectes? Étant donné que le feu s’y active naturellement, le paysage se trouve constamment à diverses étapes de renouvellement.

Une personne se détendant sur un rivage rocheux sous un ciel bleu assombri par des nuages
Le parc provincial Woodland Caribou

8. Les prix et le droit de se vanter

Il est vrai que ces incitations pourraient ne pas être la motivation la plus importante de tout le monde pour aller pagayer dans l’arrière-pays, mais il peut être inestimable de raconter à ses amis et aux membres de sa famille ses merveilleuses aventures de pagaie dans ces parcs sauvages spectaculaires (et les histoires qui se déroulent lors du périple).

Un canot route sur un quai
Un canot en kevlar de Souris River

Avons-nous mentionné que si vous inscrivez vos séjours à mesure, vous pouvez être admissible à des prix? De plus, lorsque vous vous êtes inscrit au concours « Découvrez les espaces sauvages du Nord-Ouest (avec tous vos séjours inscrits), vous pouvez devenir admissible à gagner des prix géniaux!

Quatre pagaies
Des pagaies de la XY Company

Est-ce que gagner une pagaie de canot en kevlar flamblant neuve de Souris River ou une pagaie fabriquée à la main de la XY Company ferait votre bonheur pour terminer votre découverte des espaces sauvages du Nord-Ouest? *Hochement positif de la tête.*

7. Le défi et l’aventure

C’est évident. Lorsque vous visitez nos parcs prestigieux pour pagayer dans les espaces sauvages de l’arrière-pays, chaque recoin autour de vous regorge de possibilités d’aventures.

Un homme en chandail bleu, faisant le portage d’un canot dans la forêt
Le parc provincial Woodland Caribou

Des options de routes de pagaie, de portages et de terrains de camping sans fin, aux observations de la faune et de la flore, aux histoires de pêche, aux pictogrammes, et aux défis en eau vive, le potentiel d’aventure est infini. Et il vous incombe de choisir ce qui vous convient le mieux à votre style d’excursion et de pagaie.

6. La solitude

En revanche, ces parcs reculés offrent d’excellentes occasions pour la solitude. Selon le chemin du parc que vous choisissez, il est possible de pagayer pendant des jours sans voir personne d’autre (mise à part votre partenaire de voyage, bien sûr).

Des pieds dépassant d’un hamac
Le parc provincial Woodland Caribou

Et pourquoi ne pas en profiter pour décrocher de votre vie quotidienne? Ralentissez votre rythme et détendez-vous. Prenez des notes dans votre journal et faites des croquis dans votre carnet de voyage. Méditez et comparez vos expériences de l’arrière-pays dans chaque parc.

Une personne admirant la vue du lac et de la forêt à partir de son emplacement de camping
Le parc provincial Woodland Caribou

Repensez aux types de forêts que vous avez traversées : la topographie et le terrain du Bouclier canadien, les voies navigables, les observations de la faune et de la flore, ainsi que les scènes panoramiques que vous avez observées et photographiées.

La silhouette d’un pagayeur sur un lac brumeux
Le parc provincial Wabakimi

Ces parcs attirent les pagayeurs chevronnés qui aimeraient se mettre au défi et passer du temps à pagayer et à faire du camping en solitaire.

5. La faune et la flore, et la nature

Les régions reculées vont de pair avec la nature. La devise du parc Woodland Caribou est « Où la nature règne ». N’oubliez pas : vous êtes un visiteur de ces paysages majestueux.

Un grand cervidé à la poitrine blanche et aux grands bois dans la forêt

Si vous marchez doucement, vous pourriez avoir la chance d’observer les splendeurs de la nature à son état brut.

Un orignal sur une terre humide

Qu’il s’agisse d’un original se nourrissant d’herbes le long du littoral au parc Quetico ou d’une observation momentanée d’un caribou des bois au parc Wabakimi ou au parc Woodland Caribou, la nature est abondante.

Lakescape with canoe floating with two paddlers
Le parc provincial Wabakimi

Imaginez que vous vous détendiez le long du littoral ou que vous plongiez votre pagaie en vous promenant sur lac au chant des huards de la région. Quelle vision idyllique!

4. La pêche

En général, on pense que plus l’on s’aventure vers le nord en régions moins peuplées et sous-développées, plus la pêche sera abondante. On confirme ce que ces trois parcs sauvages appuient définitivement cette idée préconçue.

La silhouette de deux pagayeurs pêchant au coucher de soleil
Le parc provincial Wabakimi

Si vous aimez cuire votre nourriture sur un feu en plein air, aucun son ne se compare au crépitement du feu de camp et au goût du doré jaune fraîchement pêché à la fin d’une longue journée de pagaie.

Un repas de poisson cuit sur un feu de camp

Jetez une canne à pêche est une partie vraiment essentielle d’une expérience de canot complète dans l’un de ces parcs.

3. Un paysage culturel

Chacun de ces trois parcs sauvages offre un paysage culturel riche en communautés autochtones et en histoire, et les récits des voyageurs et des premiers colons jusqu’aux aventuriers de l’ère moderne.

Des personnes en randonnée sur un sentier
Le parc provincial Wabakimi

Les voies navigables se faufilent au cœur du paysage accidenté de l’Ontario et du soubassement rocheux du Bouclier canadien. Ces voies navigables vous permettent de vous plonger dans des régions d’importance culturelle, et de pagayer sur les routes de canotage historiques donnant un aperçu du passé. Chaque parc offre également l’occasion d’en apprendre sur les communautés des Premières Nations, ainsi que de les mieux comprendre et de les apprécier.

Une rivière avec des rapides et la forêt boréale
La rivière Bloodvein

Les parcs provinciaux Quetico et Woodland Caribou comptent des sections de voies navigables désignées qui font partie du Réseau des rivières du patrimoine canadien. Vous pouvez choisir de parcourir la célèbre route frontalière des Voyageurs (qui longe la frontière entre le Canada et les États-Unis) ou essayez la rivière Bloodvein à partir du lac Red, (qui s’étend de l’Ontario jusqu’à Winnipeg au Manitoba). Ou créez simplement votre propre chemin en explorer chaque parc.

Deux hommes étudiant une carte avec leur équipement d’orientation
Le parc provincial Wabakimi

Le saviez-vous? Pimachiowin Aki, situé à la frontière de l’Ontario et du Manitoba (et comprenant le parc provincial Woodland Caribou) a été désigné dernièrement comme un site du patrimoine mondial de l’UNESCO! Ce partenariat comprend des collectivités locales des Premières Nations et des organismes gouvernementaux ainsi que des parcs et des zones protégées des deux côtés de la frontière. Il s’agit du premier lieu de patrimoine mondial culturel et naturel, désigné dans la forêt boréale du Nord canadien.

2. La famille et les amis

C’est votre temps. Profitez de l’occasion pour passer du temps en famille et avec vos amis, à faire ce que vous appréciez.

Quatre amis debout devant un feu au crépuscule
Le parc provincial Woodland Caribou

Socialisez et partagez les splendeurs de ces parcs sauvages et vos périples. Avons-nous besoin d’en dire davantage?

1. Ce sont les excursions de vos rêves

C’est votre passion! Vous adorez simplement être en plein air, pagayer et partir à l’aventure dans les espaces sauvages de l’Ontario.

Un canot rouge et un canot orange côte à côte sur un lac bleu
Le parc provincial Woodland Caribou

Si vous aimeriez explorer le Nord-Ouest de l’Ontario, les parcs provinciaux Quetico, Wabakimi et Woodland Caribou sont les excursions de pagaie dans les espaces sauvages de vos rêves. C’est le moment de le cocher de votre liste d’objectifs!

Depuis combien de temps regardez-vous ces cartes de routes de canotage? Pliez-les et prenez la route. Vivez vos rêves et partez pagayer dans l’un de ces trois parcs des espaces sauvages du Nord-Ouest cet été!

Devenez un adepte des espaces sauvages du Nord-Ouest dès aujourd’hui!

Le logo des espaces sauvages du Nord-Ouest

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